6 mars 2005

Une simple théorie

J'pensais) Partant du principe "Tout est en un". Tâchons de lier des notions mathématiques de bases avec une théorie de pensée déjà connue concernant les différents points de vue et de remise en cause (introspection). Sans schéma, elle reste difficile à s'imaginer. Essayons.

Imaginez un trait horizontal ou vertical, infini. On appelera ce stade "1D" (1ère dimension). Pas de différence, pas de variante : le dessin simplissime, la pensée unique ; de ce point de vue, on dira simplement "A est juste".

Imaginez ensuite un second trait qui coupe le premier perpendiculairement au point Z formant une croix. On arrive au stade "2D". Le simple trait se transforme en un angle droit, transformant de ce fait le point de vue et de remise en question. L'évolution de la pensée sera binaire : "A est juste, B est faux" ou "A est faux, B est juste". C'est le système que la plupart des gens adopte : "De toute façon, c'est de sa faute".

On arrive ensuite à un point de vue quaternaire en ajoutant à ces deux droites une troisième transversale qui forme alors un élément dans l'espace, le stade "3D". Cette droite se prolongeant à l'infini, on obtient donc maintenant une croix inscrite dans l'espace. L'individu devient plus spirituel et ses points de vue changent en "A est juste, B est faux", "A est faux, B est juste", "A est vrai, B est vrai" et enfin "A est faux, B est faux". On a donc là un niveau d'introspection supérieur par rapport au stade "2D" de la plupart des gens.

Ce point de vue "3D" peut être prolongé par l'idée suivante : en prolongeant la transversale dans l'autre sens en partant du point Z (la même droite que celle de la "3D" donc), on obtient un niveau de conscience supérieur qui vise, je le suppose, en plus de garder un niveau personnel d'introspection du type quaternaire à analyser le point de vue d'une autre personne selon le même type de réflexion (cette idée reste cependant floue).

Soutenant la théorie de la "4D" en ajoutant le facteur temps, on pourrait en déduire que l'individu prend conscience dans son introspection la notion du temps qui passe. L'idée à en tirer serait le "tout est relatif" ; l'individu, sans doute loin de certains problème anodins du stade "1D" et "2D" prend donc beaucoup plus conscience du temps selon une infinité de nouveaux points de vue : "A sera juste, B sera faux", "A était faux, B était juste"...
L'individu se réfère à son temps mais d'une façon beaucoup moins "matérialiste" que les autres (ou peut être même supra-matérialiste visant user à mauvais dessein contre les autres "naifs"(?). En continuant dans cette pensée on peut donner comme exemple les personnages de certains films. Le stéréotype du "vieux sage qui a tout vécu" et du "méchant aussi puissant que le vieux", ces deux personnages étant pratiquement hors du temps (citons Star Wars et l'idéologie des Jedi et des Sith par exemple). Bref.

Cette théorie que j'ai developpé est partie d'une idée simple mais qui demande encore à être prouvé, faute de peu, à être exprimé plus clairement et avec des exemples peut être plus conséquents pour pouvoir affirmer si oui ou non elle se rapproche d'une quelconque réalité, fantasque ou non.

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